Début décembre 2015 est tombé le délibéré du procès du 17 novembre a intenté par des matons de la Maison d’Arrêt des femmes de Fleury Mérogis. Avec un procès qui a eu lieu dans les premiers jours de l’Étatd’urgence, le tribunal d’Évry aura été celui qui a eu la main la plus lourde parmi les multiples condamnations que Christine a eu suite à des « incidents » survenus en détention.
Suivant l’ensemble des réquisitions du parquet, Christine a été condamnée à 1 an de prison ferme ainsi que plus de 4000€ de dommages et intérêts pour les matons.
Face à ce coup de massue, Christine et son avocat on fait appel de cette décision.
Par la suite, des tensions et incidents survenus à partir du 22 décembre ont valu à Christine de se retrouver à nouveau en garde à vue, début janvier à Orléans. Sept matons au total ont porté plaintes contre Christine pour des soit-disant violences et insultes. Le parquet a également retenu une plainte pour outrage à magistrat en relevant dans un de ses courriers personnels un passage où elle parle de sa « salope » de JAP qui en plus de lui refuser une libération conditionnelle a ordonné une expertise psy.
Christine comparaîtra pour ces faits vendredi 12 février 2016 à 14h au
Tribunal Correctionnel d’Orléans.
Aujourd’hui Christine est toujours à la Maison d’Arrêt d’Orléans-Saran.
Elle y est purge actuellement une peine de 30 jours de mitard.
Pour lui écrire, son adresse reste inchangée :
Ribailly Christine
écrou 2824
Centre Pénitentiaire de Orléans-Saran (QF)
RD 702 / les Montaubans
4024 ancienne route de Chartes
45770 Saran