[Brochure reçue par courriel le 23 mars 2013]
[Note de cestdejatoutdesuite : on mettra de côté les formules organisationnelles/normatives du type « penser à prévoir les équipes [!] qui vont les porter » – à propos de…banderoles -, ou « éviter les actes punis par la loi [!] sans que les alentours ne soient surveillés par un ou plusieurs complices »….etc... voir Archipel – Affinité, organisation informelle et projets insurrectionnels et aussi Anti-répression 2.0.
« (…)Bien sûr, la sécurité est importante si nous voulons pouvoir continuer notre chemin, mais elle ne peut être comprise avec finesse que dans le cadre de l’affinité, c’est-à-dire d’une relation approfondie (et notamment à travers le temps) entre des compagnon/nes qui permet peu à peu de partager les expériences et d’approfondir mutuellement l’analyse de ce monde, les pratiques et les savoir-faire qui en découlent naturellement, la sécurité en fait partie.
Bouger ensemble, attaquer, penser, analyser, faire vivre et dialoguer des connaissances, ce ne sont pas des choses que l’on apprend à l’école, en famille, en assemblée générale, sur internet ou dans un guide pratique. Ces choses là se développent au contact de l’autre, dans l’affinité, dans un développement permanent et avec soi-même. Il n’y a pas de modèle à suivre, à part pour les militants.(…) »
Extrait du texte Anti-répression 2.0 diffusé le 21 novembre 2012]