[Angers] Action de solidarité avec les expulsées de la zad

Vu cette nuit, la façade du local du parti socialiste angevin redécorée à la peinture.

et au sol un tag : « Vinci – PS même combat, solidarité ZAD »

Sus aux Ayrault de la croissance !

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[Trouvé sur Indymedia Nantes le 17 octobre 2012]

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A Bruxelles vinci nage dans le purin

En solidarité avec les compagnons de la ZAD expulséEs aujourd’hui. Du purin a été répandu à travers les boîtes aux lettres et les portes des locaux de vinci à Bruxelles.
Demain matin, les employéEs de vinci feront leur travail merdique dans une odeur qui y correspond…

Pas de vinci sur la ZAD, ni à Bruxelles, ni ailleurs !

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[Trouvé sur Indymedia Nantes le 17 octobre 2012]

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[A Notre Dame Landes des Landes comme ailleurs] Appel à actions au moment des expulsions de la ZAD

[Pour mémoire : octobre 2011 au PS de Haute-Garonne]

En cet automne 2012, l’opposition au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes rentre dans une phase délicate. L’écho qu’elle a pu avoir ailleurs que sur la zone directement concernée va etre déterminant pour l’avenir de cette lutte.

Créer une zone d’aménagement différé (ZAD), préempter, racheter, détruire quelques maisons, mettre en scène une arnaque sous la forme d’un dispositif démocratique, puis certifier le projet d’utilité publique avant d’entamer les premiers travaux de sondage. Ça, c’est fait.

La zone que le Conseil Général a dépouillé, puis cédé à Vinci, commence sérieusement à se vider. Harceler les personnes en bail précaire pour les convaincre de dégager, préparer l’éviction des récalcitrants (qu’illes squattent ou qu’illes cessent de payer leur loyer) et exproprier les dernièr-e-s qui n’ont pas vendu terrains et bâtis. Ça, c’est actuellement la besogne des décideurs. Cette offensive arrive à une période charnière puisqu’il s’agit de virer une bonne partie des habitant-e-s avant les premiers travaux de la grande route d’accès en 2013.

Contrairement aux rumeurs répandues par la presse quant au faux “moratoire” concédé par les crapules du PS, il ne s’agit en fait que d’une promesse, qui ne leur coûte rien, de ne pas virer celles et ceux qui ont refusé de négocier jusqu’ici, et ce jusqu’au terme de certains recours juridiques. En réalité les personnes concernées continuent à subir des pressions de plus en plus fortes pour dégager.

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Cette lutte a connu un tournant déterminant en 2009 avec l’invitation à occuper les espaces vidés. Le choix d’habiter sur le terrain a concentré des forces localement. Mais le risque c’est que les expulsions impliquent la fin de l’engagement de toutes les personnes d’ici et d’ailleurs qui s’y croisent et tissent des liens autour de pratiques d’organisation autonome et d’une critique des politiques d’aménagement du territoire.

Si cette histoire d’aéroport est effectivement l’élément qui a permis à beaucoup de se rencontrer, c’est aussi le biais par lequel nous avons choisi de nous affronter à ce monde. C’est-à-dire à la marchandisation des espaces, à l’aménagement de nos vies, au contrôle des populations; toute une politique répressive et autoritaire qui frappe partout et nous concerne tou-te-s au quotidien, que ce soit dans les quartiers, à l’école, au travail ou dans les mouvements sociaux. L’expulsion des habitant-e-s de la ZAD pour la construction de cet aéroport, symbole de cette politique, ne peut être laissée sans réaction.

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Le dispositif militaire qui sera mis en place au moment des expulsions face à la résistance sur le terrain sera tel qu’il concentrera plusieurs centaines de gardes mobiles et de CRS dans une même zone verrouillée. Un bon moyen de tirer de la force de ce moment décidé par l’ennemi serait de créer d’autres champs de tension au-delà de l’enclave de la ZAD. Ce serait l’occasion de chercher des brèches et d’attaquer là où ils ne sont pas, là où ils ne s’y attendent pas.

Dans un contexte où les aménageurs font face à de plus en plus de résistances, il semble nécessaire de s’organiser afin que la répression d’une lutte ne fragilise pas les autres. Nous vous invitons donc à vous mobiliser aussi chez vous, non pas pour affirmer votre soutien, mais votre solidarité, car vos luttes sont les nôtres.

Se rassembler, occuper un bâtiment, une rue, poser un tag ou une banderole, s’attaquer à des locaux, saboter un chantier, bloquer des axes de circulation, partir en manif sauvage, frapper des cibles dans des espaces inattendus,… Bref, autant de moyens possibles de faire déborder le conflit.

Guerre aux animateurs de la misère!

À nous de jouer!

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[Texte publié sur Indymedia Nantes le 10 octobre 2012]

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Manifestation vers le centre de rétention de Vincennes, 16 novembre, 18h

Manifestation nocturne et sonore vers le centre de rétention de Vincennes, Vendredi 16 novembre 2012 à 18 heures

Pondre une énième réforme pour enfermer et expulser toujours plus d’étrangers (allongement du contrôle d’identité à 16 heures) semble être aussi normal que de se demander ce qu’on va manger ce soir. Enfermer les gens 45 jours pour une histoire de papiers est devenu acceptable. Mettre en prison ou sous cachetons ceux qui refusent de se laisser enfermer, exploiter et stigmatiser est d’une extrême banalité. Mais malgré toutes les forces mises en œuvre pour nous faire avaler la pilule, des personnes, à l’intérieur comme à l’extérieur des centres de rétention, se révoltent et se solidarisent régulièrement.

Le racisme et la stigmatisation des étrangers sont un des moyens des pouvoirs pour désigner un ennemi commun. Le but est de monter les pauvres les uns contre les autres. Diviser pour mieux régner. Il faut que le marché du travail soit une histoire de compétition afin de nourrir encore et toujours l’économie.

Au sein de l’espace Shengen les frontières sont censées être abolies mais en réalité elles sont surtout renforcées à l’intérieur de l’Europe. La « menace » migratoire permet de justifier un contrôle permanent sur toutes et tous : dans les transports, sur les lieux de travail, dans les administrations, dans la rue… Un simple contrôle peut pour certains, amener à l’enfermement et l’expulsion. Rendus possible grâce à la collaboration active des banques (La Poste, la BNP, le Crédit lyonnais…), des agences d’interim (Randsat et Adecco qui menacent de balancer les sans-papiers s’ils se mettent en grève), des transporteurs (SNCF, Air France, Royal Air Maroc…), des constructeurs (Bouygues, Eiffage, Vinci…) ainsi que toutes les associations (France terre d’asile, Croix rouge, Forum réfugiés…) qui cogèrent la machine à expulser.

Les centres de rétention comme les autres lieux d’enfermement sont un des moyens répressifs pour l’Etat d’asseoir son pouvoir et d’étendre le contrôle sur la société. Ils sont banalisés et admis comme faisant partie d’un système qui fonctionne du mieux qu’il peut. De toute évidence, la machine rodée de la politique migratoire fait face à des individus qui ne veulent pas subir leur exploitation et leur enfermement. Des révoltes ont lieu dans les prisons pour étrangers en Europe et ailleurs. Il y a un an, à Marseille, le centre de rétention du Canet a brûlé. Depuis sa réouverture les actes de résistance n’ont cessé. Cet été des retenus ont refusé d’embarquer et se sont révoltés contre les tabassages quotidiens des flics. Certains ont essayé de mettre le feu au centre. Des personnes se sont solidarisées avec eux.

Ces dernières années l’État a cherché à casser les luttes à l’intérieur comme à l’extérieur en utilisant de nombreux outils de son appareil répressif y compris l’antiterrorisme. Ce sont pourtant ces révoltes et ces solidarités qui s’attaquent à la résignation. S’organiser pour lutter contre les centres de rétention et les frontières, c’est aussi s’opposer aux outils de contrôle et de répression qui vont avec.

Nous refusons de nous laisser contrôler et enfermer dans des prisons et des frontières. Attaquons les lieux d’enfermement et le système qui les produit.

- Manifestons en nous faisant voir et entendre des retenus le vendredi 16 novembre à 18 heures précises.
- Rendez-vous dans le hall de la gare RER de Joinville-Le-Pont (RER A – direction Boissy-Saint-Léger).

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[Publié sur Indymedia Paris, le 7 octobre 2012]

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[Cévennes et alentours] Soirée de soutien à Kaliméro sous le soleil le 19 octobre

SOIRÉE CABARET-BARRÉ EN SOUTIEN À KALIMERO SOUS LE SOLEIL

LE VENDREDI 19 OCTOBRE AU HANGAR DE MALERARGUES
(à 4 km avant Lasalle en venant d’Anduze)

AU PROGRAMME :
20H : « A BAS LES BARBYS »(les croutes)
spectacle déjanté

21H30 « STRESS ET PAILLETTES »(LES KAG)
cabaret bien barré à 4 mains

ET VERS 23H : BOEUF MUSICAL (amène ton/tes instrument(s))

CANTINE (prix libre) et de quoi boire au bar!

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[Tours] Refus ADN

Nous reprenons un appel pour aider une compagnonne de Tours …

« Le 8 mars 2012, c’était le procès de F., inculpée d’avoir mis deux coups de boule à un policier de la BAC, alors qu’elle se faisait violenter par le policier en question ; c’était en mai 2011.
Ce jour là, (jour « des faits » en mai 2011) F. n’est pas emmenée en garde à vue, loin de là, elle s’est faite convoquer plusieurs semaines après.
Il y a alors une confrontation, le policier dit qu’elle l’a frappé, F. dit que c’est l’inverse. Elle a un certificat médical attestant d’hématomes importants…etc et huit jours d’ITT. Le policier n’a pas une marque.
Au procès, la juge dit que « la seule chose qu’on puisse reprocher au policier, c’est de na pas avoir tapé assez fort F. pour qu’elle lâche un copain tombé par terre. »
Le rendu a lieu le 13 mars, F. est coupable et prend 3 mois de prison (sursis) 800 euros à donner au policier et 500 euros de frais d’avocat (ceux du policier).
On aurait pu croire que cette affaire s’arrête là, pas du tout.
Un recommandé datant du 21 septembre la convoque pour le mardi 09 octobre prochain, pour prélèvement de matériel biologique. Celui-ci est demandé par le procureur.
Si des gens peuvent témoigner de leur expérience (convocation 6 mois après la condamnation, ne pas y aller, y aller et refuser etc…), on serait content de les lire. »

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[On peut écrire à c’est déjà tout de suite qui transmettra]

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[Marseille] Rassemblement devant le CRA du Canet Samedi 6 octobre à 18 heures

RASSEMBLEMENT SAMEDI 6 OCTOBRE 18 HEURES DEVANT LE C.R.A DU CANET – Bd des Peintures – Metro Bougainville

Semaine après semaine, jour après jour, le quotidien des retenu-e-s au Centre de Rétention Admnistratif du Canet est ponctué par des humiliations, des insultes et des tabassages de maton-ne-s de cette prison pour étranger-e-s. Parfois la nourriture est périmée, on donne aussi des médicaments à tout vent, surtout des anti-douleurs ou des anxiolytiques. Si un-e retenu-e tente de résister à son expulsion il-elle peut être ligoté-e, bâillonné-e au scotch et/ou gavé-e de calmants. Parmi les retenu-e-s, des auto-mutilations et des tentatives de suicide se succèdent.
À l’intérieur du centre, des retenu-e-s résistent par des actes individuels ou collectifs: refus d’embarquement, destructions de matériel ou incendie…
Nous nous rassemblons pour manifester notre solidarité avec ces retenu-e-s. Si nous nous solidarisons avec les retenu-e-s, pour autant, nous ne luttons pas pour une amélioration des conditions de la rétention administrative. Nous nous battons pour la fermeture des centres de rétention et contre le système qui les produit.

LIBERTE DE CIRCULATION ET D’INSTALLATION !
ARRET DES EXPULSIONS !
FERMETURE DE TOUS LES CENTRES DE RETENTION !

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Salut EDF !

une petite participation de plus à la lutte antinucléaire en cours…

Dans la nuit du samedi 29 au dimanche 30 septembre, des locaux d’EDF à Rennes ont reçu une petite visite.
Quelques vitres ont été brisées à l’aide de boulons de pylones et quelques-uns déposés à l’entrée puis des messages ont été laissé sur place : « la THT passera pas comme ça, la lutte continue ! » et « ligne cotentin-maine, RTE reprends tes boulons! ».

Bon courage à ceux et celles qui persistent malgré l’avancée de la ligne.

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[Trouvé sur Indymedia Nantes, le 3 octobre 2012]

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Un retenu du CRA de Vincennes en prison pour avoir été tabassé par les flics

Walid, un retenu du CRA 3 de Vincennes, a été tabassé par les flics le vendredi 21 septembre. Il avait tenté de se suicider une semaine auparavant car les flics et le médecin refusaient de l’emmener à l’hôpital, alors qu’il se plaignait de violentes douleurs au ventre après avoir avalé des couverts en plastique cassés. Quand il a finalement été emmené à l’hosto après s’être pendu, les médecins l’ont directement renvoyé au centre sans autres soins que les éternels calmants, bien qu’ils aient constaté par scanner la présence du plastique dans son ventre. Apparemment, une embrouille avec l’infirmière quelques jours plus tard a entraîné l’altercation avec les keufs. Selon la version des flics, il aurait « tenté de mettre un coup de tête à un policier ». Il a été placé en garde-à-vue dans la journée puis est passé en comparution immédiate le lendemain. Il a pris un mois de prison ferme et est actuellement détenu à Fleury-Mérogis.

Le 15 septembre
« Avant-hier y’avait un mec qui s’est pendu, heureusement on était là on a fait le possible pour le sauver, mais il était presque fini, après les policiers sont venus. Parce qu’il était malade le mec, il avait un problème à l’estomac, ils voulaient pas l’emmener à l’hôpital. Il a insisté, il arrêtait pas de supplier, il a craqué le mec, il a pris une corde et voilà… Nous on est intervenu heureusement, maintenant je sais pas où il est le mec, il est pas là, je sais pas où il est parti, si ils l’ont emmené à l’hôpital… Au début c’étaient les policiers ils voulaient pas le laisser aller voir les médecins, ils l’empêchaient. J’ai l’impression qu’ils le croyaient pas, ils croyaient que le mec faisait semblant. Alors que le mec non, il avait vraiment très mal. Même à nous il a dit « faites quelque chose les mecs parce que je me sens très mal ». Il a vomi, il arrêtait pas de vomir, il s’est évanoui pas mal de fois, il s’est relevé, on lui a donné de l’eau, y’a rien à faire le mec il a vraiment vraiment mal, il avait un problème à l’estomac. On a demandé aux policiers, les policiers nous disent « non attendez le médecin il est pas là ». A chaque fois ils nous racontent un truc : « le médecin n’est pas là, il va pas tarder à arriver, non il est occupé, il a du monde dans son cabinet… » et ainsi de suite. »

« J’ai un problème parce que j’ai mangé quelque chose qui est resté dans mon estomac, qui est pas sorti. En plus j’avais décidé hier parce que… j’ai demandé le médecin, pour lui dire « envoyez-moi à l’hôpital », et il a pas accepté. Ils m’ont dit « non, t’as rien mangé du tout ». Jusqu’à ce que mon estomac il sorte du sang. Après j’ai parlé avec le chef de police, il est parti parler avec elle [le médecin], elle elle dit non encore. Après comme je me sens très mal, je me sens tout seul, tout le monde me dit « non t’as rien, tu sors pas d’ici », je me suis énervé un peu hier, j’ai perdu mon sang-froid, j’ai tenté de me suicider. Heureusement mon ami à la dernière seconde il m’a aidé. Les traces elles restent maintenant, je reviens de l’hôpital maintenant. Jusqu’à maintenant j’arrive pas à tourner mon cou, y’a encore les traces partout. Ils m’ont pas donné de médicaments, que des calmants, rien de nouveau.
Hier et aujourd’hui ils m’ont fait des radios, comme des scanners, pour voir ce qu’il y a à l’intérieur de mon estomac. Ils ont trouvé du plastique parce que j’ai mangé une cuillère et une fourchette cassés. Mais je sais pas, le médecin il m’a dit « tu peux rester ici » mais après il est parti parler à la police et il est revenu il m’a dit « tu reviens ici [au CRA]». Moi en plus j’ai encore mal, j’ai encore du plastique dans l’estomac, les mêmes choses y’a rien de changé, j’arrive même pas à manger, j’arrive même pas à tourner ma tête. En vrai il a rien fait pour moi. »

Le 22 septembre
« Ca a mal tourné avec les policiers. Ils l’ont frappé. Là je sais pas si il est en garde-à-vue ou à l’hôpital, mais en tout cas il est pas là. Je sais pas en fait ce qui c’est passé parce qu’il était vers l’infirmerie. Nous on n’a pas accès parce qu’ils ferment les portes, et que les policiers bloquent les portes. Donc comme il était tout seul avec eux après je sais pas ce qui c’est passé, ça a dégénéré, il était parterre, on le voyait parterre, et eux ils lui mettaient des coups. Ils lui mettaient des coups de pied. Après ils l’ont pris ils sont partis avec, donc on sait pas où il se trouve actuellement. Il me semble que c’est un problème avec l’infirmière, et après les policiers sont intervenus. »

Liberté pour Walid et tous les autres !

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[Publié par Sans Papiers Ni Frontières, le 30 septembre 2012]


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[Dordogne] Samedi 6 octobre 2012 Journée/soirée de soutien à la caisse de solidarité la belle .°.

Journée/soirée anti-carcéral, anti-fichages anti-enfermements en Dordogne (près de Monpeyroux)
Dès 14h, une journée avec ciné plein air (projection sur le fichage adn), infokiosque, débats, bouffe végan, concerts le soir avec quatre groupes Varlin, Zeppo, Paranormal, Placard
Prix libre
En soutien/solidarité à la belle .°. (caisse de solidarité pour les inculpéEs,condamnéEs,enferméEs,fichéEs de la guerre sociale)
…des compagnons/compagnonnes passent en procès pour refus de fichage ADN le 8 octobre et le 6 décembre à 14h au tribunal d’instance de Périgueux
pour tout contact : labelle[a]riseup.net

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