Paris sous tension n°6 – Mars 2016

Paris sous tension – Journal anarchiste sur Paris et au-delà

Présentation

Ce(ux) que nous visons. [Paru dans le n°1]

Réfléchir et discuter de tout ce qui nous opprime, nous empêche de nous émanciper et de la nécessité de se battre pour la liberté, n’est pas faire de la politique.

Le but de ce journal n’est donc pas de représenter, ni de se faire le porte-parole de qui que ce soit,ni de quelconque Organisation et encore moins d’imposer un programme.

Nous souhaitons partager un regard critique sur l’ensemble des structures du pouvoir auxquelles nous sommes toutes et tous confronté-e-s au quotidien, de près ou de loin (transports en commun, gentrification des quartiers, vidéosurveillance, lieux d’enfermement, etc.), et pointer du doigt les responsables qui participent à la perpétuation et au développement de la domination et de l’exploitation. Lesquels sont, avec leurs locaux, leurs installations, leurs véhicules, etc., très souvent à la portée de la critique d’une ou plusieurs personnes un tant soit peu déterminées comme nous le rappellent divers «fait divers» et autres «brèves».

Réfléchir, analyser et développer, certes, mais donc dans le but de se donner les moyens de (re)prendre sa vie en main.

Pour que nos cœurs ne se ramollissent pas à force de seulement se lamenter d’être des victimes.
Pour qu’ils ne deviennent ni durs comme de la pierre car nous ne voulons pas devenir des «guerrier-e-s».
Pour que se révolter signifie être en bonne santé.
Pour que nos larmes de souffrances deviennent nuée d’orages qui s’abattront sur l’ennemi.
Pour que, tantôt s’écoulant placidement et tombant doucement goutte à goutte du plafond, tantôt les mille et une raisons de se révolter et les rêves et désirs de liberté se mettent à gronder, deviennent torrent qui dévale dans toutes nos veines et frappe à toutes les parois de notre corps et de notre esprit, en mugissant dans un formidable fracas et appel à la vie.

Les politiciens, les patrons et tous ceux qui nous veulent soumis-e-s et exploité-e-s veulent que nous continuons à supporter ces conditions misérables et à nous sacrifier toujours plus, pour une (hypothétique) retraite ou quelconque autre paradis.
Nous proposons de nous battre pour la liberté; un pari complexe certes, mais bien autrement beau, noble et fécond par rapport à tout ce que nous impose cette société autoritaire.

Qui sait ce que ça donnerait si tous nos sentiments d’injustice, nos colères, nos désirs et notre imagination coïncidaient et dépassaient ce qui est autorisé et toléré ? si les exploité-e-s, les pauvres et toutes et tous les indésirables faisaient un bout de chemin ensemble, solidaires à travers l’attaque, pour forcer l’horizon des possibles ?

Ce journal se veut ainsi un cocktail d’oxygène et d’étincelles, d’idées et de rêves de liberté, d’attaques, d’insoumission et d’offensives diverses. Par des individus d’ici et d’ailleurs qui se mettent en jeu. Ce journal souhaite montrer et faire la coïncidence de ces vies; ces vies comme des paris sous tension

Paris sous tension n°6 – Mars 2016

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[Paris] Loi, travail, prison : détruisons !

Ces dernières semaines 8 DAB ont été sabotés par divers moyens (marteau, mousse expansive, extincteur) dans le nord de Paris.

Au lieu de nous plaindre aux côtés des partenaires sociaux (matons de la révolte) détruisons ce qui nous détruit ! Pas besoin de manifs !

La « loi travail » on en a rien à péter, on veut juste tout péter !

Solidarité avec les anarchistes de Korydallos.

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[Publié sur Indymedia Nantes le 18 mars 2016]

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[Poitiers] Procès de Christine ce mardi 15 mars (màj)

Mise à jour 16 mars :
Le procureur a requis 1 an de prison ferme contre Christine.

Le jugement a été mis en délibéré au 5 avril

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Mardi 15 mars dès 12h au Tribunal de Poitiers
Venez manifester votre solidarité et votre soutien à Christine qui résiste en prison contre l’arbitraire et pour la liberté.

« […] il arrive que des condamnés commettent le crime de parler… »
A.M. Jaco
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Suite à un mouvement collectif des détenues du centre pénitentiaire de Vivonne en décembre 2014, Christine Ribailly devait comparaître mardi 6 octobre 2015 au tribunal de Poitiers pour « violences », « outrages », « menaces » envers divers membres de l’Administration pénitentiaire. Une  quarantaine de personnes étaient venues la soutenir et témoigner leur  solidarité aux résistances individuelles et collectives face à  l’incarcération et la violence des matons. Mais l’audience n’avait pu avoir lieu.
En effet, à la lecture faite par la juge de la longue liste de faits qui  lui sont reprochés, l’avocat de Christine avait observé que la copie qui  lui avait été envoyée était incomplète et faisait état de 6 faits au  lieu des 11 cités par la juge. L’audience fut donc renvoyée au 15 mars 2016. Il apparaît d’ores et déjà que les multiples plaintes rapportées  par les membres de l’AP se sont ajoutées les unes après les autres à un  dossier qui promettait aux accusateurs quelques recettes pour arrondir  leurs fins de mois sur le dos de l’accusée. Chacun y est allé de sa  petite plainte, toutes aussi ridicules les unes que les autres.
Double peine pour de nombreux prisonniers, les mois d’emprisonnement  suite à ce genre de plaintes s’ajoutent à des sanctions disciplinaires  déjà prononcées, et ne cessent de gonfler les durées d’incarcération  dans la plus totale impunité des matons.

Nous nous retrouverons donc aux côtés de Christine le 15 mars 2016 dès 12h au  tribunal de Poitiers, Place Alphonse Lepetit.

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Quelques affichettes en prévision d’un mouvement contre la « loi Travail »

En prévision d’un éventuel mouvement contre la « loi Travail », voici quelques affichettes au format A3 (on pourra réduire en A4, en sticker, ou agrandir en A2), qu’on pourra, selon les envies et les perspectives, imprimer, photocopier et diffuser dans les lycées, universités, au travail et dans la rue. Ne jamais demander l’autorisation.

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[Reçu par mail, diffusé sur la Base de données anarchistes]

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Christine passe en procès ce mercredi 2 mars à Orléans

L’audience de Christine au Tribunal d’Orléans n’a pu avoir lieu cevendredi 12 février, bien qu’elle ait été extraite. L’avocat n’ayant reçu jusqu’au matin même qu’une partie du dossier instruit, un renvoi a été demandé et obtenu. Le procès aura donc lieu mercredi 2 mars à 14h au Tribunal Correctionnel d’Orléans.

Christine est sortie du quartier disciplinaire (mitard) samedi 13 et est détenue en Quartier d’Isolement jusqu’à nouvel ordre…

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Pour lui écrire, son adresse reste inchangée :

Christine Ribailly
écrou 2824
Centre Pénitentiaire de Orléans-Saran (QF)
RD 702 / les Montaubans
4024 ancienne route de Chartes
45770 Saran

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Lucioles n°24 – février 2016

cliquer sur la première page pour télécharger Lucioles n°24

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Lucioles est un bulletin apériodique, on peut y lire des textes d’analyse et d’agitation autour de Paris (et sa région) et de son quotidien dans une perspective anarchiste. On y parle des différentes manifestations d’insoumission et d’attaques dans lesquelles nous pouvons nous reconnaître et déceler des potentialités de rupture vis-à-vis de l’Etat, du capitalisme et de la domination sous toutes ses formes en essayant de les relier entre elles et au quotidien de chacun. Nous n’avons pas la volonté de représenter qui que ce soit, ni de défendre un quelconque bout de territoire en particulier qui n’est qu’un modèle réduit de ce monde de merde.

« Les lucioles on les voit parce qu’elles volent la nuit. Les insoumis font de la lumière aux yeux de la normalité parce que la société est grise comme la pacification. Le problème, ce ne sont pas les lucioles, mais bien la nuit. »

https://lucioles.noblogs.org/

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Contre l’état d’urgence, contre le PS

5 permanences du PS ont perdu leurs vitres

Dans les derniers jours 5 locaux du PS ont eu leurs vitres defoncées à Paris et en Seine Saint Denis :

Dans le IIIème (40 rue Charlot), le XVème (36 rue Mathurin Régnier), le Vème (328, rue St Jacques), aux Lilas (rue du 14 Juillet) et au Pré Saint Gervais (33 rue Gabriel Péri).

S’opposer à l’état d’urgence c’est s’opposer à l’Etat tout court et au parti au pouvoir le PS.

Cela ne se fait pas avec des promenades traine-savates aux côtés de partis politiques, syndicats et bigots obscurantistes ni avec des banquets avec des religieux ou juste en se plaignant de la violence policière.

Vive l’action directe!

Ils envoient leurs flics défoncer nos portes, défonçons leurs vitres (ou autre)!

Contre l’Etat!

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[Publié sur Indymedia Nantes le 18 février 2016]

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Séditions n°6 – Février 2016

cliquer sur la couverture pour télécharger Séditions n°6

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[Reçu par mail]

Pour lire les textes et télécharger les autres numéros : https://seditions.noblogs.org

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Nouvelles de Christine

Début décembre 2015 est tombé le délibéré du procès du 17 novembre a intenté par des matons de la Maison d’Arrêt des femmes de Fleury Mérogis. Avec un procès qui a eu lieu dans les premiers jours de l’Étatd’urgence, le tribunal d’Évry aura été celui qui a eu la main la plus lourde parmi les multiples condamnations que Christine a eu suite à des « incidents » survenus en détention.

Suivant l’ensemble des réquisitions du parquet, Christine a été condamnée à 1 an de prison ferme ainsi que plus de 4000€ de dommages et intérêts pour les matons.
Face à ce coup de massue, Christine et son avocat on fait appel de cette décision.

Par la suite, des tensions et incidents survenus à partir du 22 décembre ont valu à Christine de se retrouver à nouveau en garde à vue, début janvier à Orléans. Sept matons au total ont porté plaintes contre Christine pour des soit-disant violences et insultes. Le parquet a également retenu une plainte pour outrage à magistrat en relevant dans un de ses courriers personnels un passage où elle parle de sa « salope » de JAP qui en plus de lui refuser une libération conditionnelle a ordonné une expertise psy.

Christine comparaîtra pour ces faits vendredi 12 février 2016 à 14h au
Tribunal Correctionnel d’Orléans.

Aujourd’hui Christine est toujours à la Maison d’Arrêt d’Orléans-Saran.
Elle y est purge actuellement une peine de 30 jours de mitard.

Pour lui écrire, son adresse reste inchangée :

Ribailly Christine
écrou 2824
Centre Pénitentiaire de Orléans-Saran (QF)
RD 702 / les Montaubans
4024 ancienne route de Chartes
45770 Saran

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[Rennes] À nos faux amis

Samedi 6 février était organisé à Rennes un Karnaval contre l’état d’urgence et pour la victoire de la ZAD. L’appel, autonome et signé par le comité ZAD de Rennes, a attiré un bon millier de personnes venant de toute la fRance et au-delà. Après un bon gueuleton concocté par une cantine végane – à côté de la «cantine des Q de plomb» qui n’a rien trouvé de plus malin que de servir du cadavre de poule en le faisant passer pour un aliment et en annonçant fièrement avoir «égorgé les poulets eux-même» -, la manifestation a décollé vers 15h de la place du Parlement.

Le cortège, bigarré et festif, s’est élancé au rythme des nombreux pétards et fumigènes qui annoncaient la couleur de la manifestation. Rapidement, les vitrines des banques, compagnies d’assurance et agences immobilières sont attaquées à coups de marteaux, d’extincteurs et recouvertes de peinture. La relativement faible présence policière a permis aux manifestant·e·s de continuer à déambuler jusqu’à la place Charles de Gaulle, en continuant à égayer les rues. À partir de là, scindée en différents cortèges, la manifestation s’est prolongée dans plusieurs directions, poursuivie par les flics qui ont tiré des balles en caoutchouc sur les manifestant·e·s, de dos la plupart du temps. C’est dans ce contexte de dispersion qu’ont eu lieu les quelques interpellations, censées calmer les hiérarchies policières et politiques et donner une illusion de maîtrise à la fameuse opinion publique. Probablement une façon pour eux de ne pas perdre la face.

Mais derrière la joie qui nous a animé lorsque les vitrines tombaient se cache une amertume certaine, et de la colère contre des organisateurs du karnaval qui veulent se poser en leaders de révolté·e·s qui n’entendent pas se faire dicter des ordres de la sorte. Le fait que leurs injonctions n’aient pas été respectées ne doit pourtant pas nous empêcher de dénoncer des méthodes odieuses et politiciennes.

La veille de la manifestation, des organisateurs et organisatrices ont, de leur propre aveu, dressé la liste (!) des «groupes venant de loin» susceptibles d’avoir envie d’exprimer leur rage contre ce monde et son aéroport de manière conséquente. Ils et elles ont ensuite expliqué avec autoritarisme le «mot d’ordre» qui les arrangeaient bien, de la farine et de la peinture, mais pas de casse ni de projectiles. Le déroulement de la manifestation a heureusement montré tout le mépris dont leurs directives ont fait l’objet.

La joyeuse balade en ville s’est déroulée quasiment sans heurts au sein du cortège, malgré la «frustration» qu’avaient ses organisateurs de voir le peu de respect que nous avions pour leurs ordres. Malheureusement pour elleux, nous ne sommes ni dociles ni obéissant·e·s. Quelques citoyen·ne·s ont certes exprimé leur désaccord avec les personnes qui cassaient des vitrines, en les accusant, aveuglé·e·s par le discours de l’ordre, de travailler pour les flics (!), d’être contre productifs (encore heureux !), ou que ça ne servaient à rien.Nous briserons des vitrines tant qu’ils briseront nos vies, et manifestement il n’était pas nécessaire d’être masqué·e pour être de cet avis : ces quelques citoyen·ne·s militant·e·s ont souvent été rabroué·e·s par des manifestant·e·s solidaires «les banques te volent tous les jours, c’est la moindre des choses ce qu’ils font !». La faible présence policière a permis à quelques révolté·e·s, au-delà des sourires connivents et des éclats de joie au son des vitrines brisées, d’exprimer en actes leur haine de l’État et de ses larbins ; entre ceux qui nous empruntaient nos aérosols pour s’essayer à certaines pratiques et celles qui, encouragées par l’ambiance festive, se mettaient à lancer des projectiles sur les banques et les flics, les complicités ont été nombreuses au sein de la manifestation.

Si certains radicaux se font fort de proclamer sur le papier la nécessité de ne rien négocier avec le pouvoir, ils sont bien capables de «composer» avec des organisations par intérêt politicien. Leur théorie étonnante se résume ainsi : «si nous descendons d’un cran notre radicalité, cela permettra à des paysans, des citoyens, des organisations, de se radicaliser, et progressivement de massifier un « mouvement » qui en aurait besoin». Alors que les exemples abondent qui décrivent exactement l’inverse de cette assertion, ils et elles sont prêt·e·s à mettre la pression sur des compagnon·ne·s pour ne pas perdre la face auprès des autres orgas de la manifestation. En effet, ils et elles s’étaient engagées auprès de celles-ci qu’il n’y ait pas de casse pendant la promenade, et ielles entendaient bien faire respecter cette loi. La question est de savoir avec qui nous voulons nous associer, et pourquoi certain·e·s privilégient la composition avec des organisation institutionnelles aux complicités spontanées qui émergent toujours des situations où certaines limites sont franchies dans le non-respect de l’ordre et des lois.
Faut-il le répéter, le fameux «contexte local» qu’on serait censé·e connaître avant d’agir est malheureusement le même où que nous allions ; de Rennes à Gaza et de Milan à Athènes, les flics, les juges et les prisons défendent l’État et le capital et nous n’accepterons pas de composer avec celleux qui s’empresseront de nous tirer dessus lorsque les luttes spécifiques qui les intéressent seront «gagnées», c’est-à-dire absorbées et récupérées. Combien seront-ielles, à EELV, à l’ACIPA et ailleurs, à défendre la ZAD lorsque le projet d’aéroport sera abandonné ? Combien reprendront à leur compte le discours du kyste à éradiquer ?

Vers la fin de la manifestation, un des disciples d’un comité pas suffisamment invisible s’en est pris violemment à un anonyme qui s’attaquait à une banque, n’hésitant pas à user de ses poings pour taire l’affront que lui et ses associé·e·s étaient en train d’essuyer depuis le début de la manif. Il fut heureusement rapidement maîtrisé. Après cette manifestation, des compagnon·ne·s ont été approchés par certain·e·s tenant·e·s de cette ligne politique incompréhensible. Après les menaces vinrent les appels à la délation, «qui a cassé les banques ? On veut juste savoir qui c’est, pour leur parler». On ne peut qu’opposer le silence à d’aussi viles tentatives et leurs logiques policières.

Comment en sont-ils arrivés à une telle arrogance qu’ils ont prétendu pouvoir empêcher des manifestant·e·s d’exprimer leur rage sans concession contre le pouvoir et la normalité ? Au point de proférer des menaces avant et après la manifestation, mais aussi d’aller jusqu’à user de la violence pour défendre les intérêts de leurs accords politiciens ?

Nous ne nous laisserons pas impressionner par leurs manœuvres et nous continuerons à porter en actes un discours et des pratiques sans concession avec la démocratie et ses soldats.

À nos faux amis : notre détermination est intacte. Pas de compromis avec le pouvoir et ses cautions protestataires.

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[Publié sur Indymedia Nantes le 9 février 2016]

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